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La plupart d'entre eux utilisent des objets graphiques reliés entre eux par du câblage.
L'état des qubits n'est représenté qu'en entrée et en sortie.
Les états intermédiaires ne semblent pas faire l'objet d'un traitement particulier.
Le paramétrage se fait via des fenêtres système et la place des objets à l'écran est délibérément peu manipulable.
Exemple : jQuantum.
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jQuantum
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Une application dans le même esprit mais dont l'interface semble beaucoup plus ancienne (~1995) : Qgol.
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Qgol
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Le paramétrage des algorithmes par fenêtres système peut vite devenir foisonnant : Quantum Computer Simulator (1).
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Quantum Computer Simulator (1)
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Les limites de ce type d'interfaces graphiques sont parfois soulignées par les auteurs eux-mêmes, comme dans le cas de Quasi.
Mais est-ce que ce qui est présenté comme une limite ergonomique ne révèle pas un problème de représentation plus fondamental ?
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Quasi
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Certains simulateurs ont opté non pas pour la représentation des notions mathématiques, mais pour celle des phénomènes physiques mis en jeu, comme dans le cas de Quantum Computer Simulator (2).
Ce type de démarche n'est pas celui que nous avons adopté.
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Quantum Computer Simulator (2)
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Enfin certains langages ont préféré une implémentation fonctionnelle plutôt que graphique. Exemple : LanQ.
Le style de programmation visible sur cet exemple pourrait laisser penser que la programmation quantique a les mêmes structures de contrôle que la programmation classique,
la différence résidant dans la manipulation de données qui, elles, peuvent être de nature quantique.
Le problème que soulève cet exemple, est qu'il semble nécessaire de créer autant de bibliothèques que d'algorithmes, ce qui déporte simplement la question de la programmation sur celle de la bibliothèque.
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langQ
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